Présents : Christine Q, Christian, Françoise, Déborah, Dan..Excusés : Sabine (si j’ai oublié quelqu’un, merci de me l’indiquer)
Ordre du jour :
1) Randonnée botanique du 12 mai
2) Gratiféria du 2 juin
3) Structuration du Collectif Léa
I – Randonnée botanique du 12 mai 2013
Le dimanche 12 mai, sur une idée de Christine Q, une randonnée botanique sur les plantes comestibles et leurs effets sur la santé est confirmée. Christine a déjà fait un premier repérage et en fera un second une semaine avant la randonnée afin de répertorier les plantes qui auront levé à ce moment là.
Le parcours fait environ 5 kilomètres et la durée de la randonnée sera d’environ trois heures. Nous traverserons trois milieux différents :
- un milieu champêtre (le long de champs agricoles)
- un milieu humide, le long de l’Orbiquet
- un sous-bois.
Vers la fin de la randonnée, un goûter à l’espagnole sera proposé pour lequel chacun est invité à rapporter quelque chose à partager. Il pourra se faire au sec en cas de mauvais temps. Après le goûter, il restera environ 15 minutes de marche.
Rendez-vous à St Pierre de Mailloc à 14h le dimanche 12 mai 2013 sur le parking à côté de l’école.
Pour les personnes partant de Lisieux, nous proposons d’organiser du co-voiturage : rendez-vous à 13h30 devant l’espace Victor Hugo.
A faire :
- texte d’annonce de la randonnée pour la publication de mai du réseau d’échanges de savoirs (Christine Q) ;
- annoncé la randonnée sur le site et sur Facebook et inviter chacun à partager l’information ;
- un communiqué de presse à envoyer au plus tard le vendredi 3 mai (à préparer pour le 29 avril, Dan)
- pour le jour j, prévoir une trousse de secours (Françoise), des ustensiles réemployables pour le gouter (pas de gobelet en plastique par exemple), sacs poubelles, de bonne chaussures, etc.
- après la randonnée, mettre sur le site le tableau botanique préparé par Christine.
II – Gratiféria du 2 juin 2013
A cette heure, le lieu qui avait été pressenti (école Jean Macé à Lisieux) n’a pu être confirmé faute notamment d’assurance en propre. Il avait été proposé qu’une demande de portage soit faite à l’association Gouina. Son bureau s’est réuni et n’a pas souhaité répondre favorablement à cette demande.
Deux conséquences en découlent : où faire la gratiféria de juin et le besoin de se structurer.
Si la gratiféria du 2 juin a bien lieu (école Jean Macé, Salle Mozart, ou autre?), reprendre les éléments d’organisation de la première gratiféria et caler des animations pour que ce rendez-vous ne soit pas qu’un dépôt d’objets. Chacun est invité à transmettre des idées d’ici la prochaine réunion qui se tiendra après la randonnée botanique. Exemple : atelier « comment réparer son vélo », « faire des boutures », atelier couture (en lien avec les vêtements que l’on nous dépose et dans l’esprit car permet encore plus le recyclage)….
III – Structuration du Collectif
3.1) Réunions
Pour éviter de s’éparpiller : désigner à chaque réunion un passeur de parole et une personne pour les prises de notes pour les compte-rendus.
3.2) Léa fait quoi ?
Le collectif Léa est né suite à l’appel à la création du zone de gratuité dans le Pays d’Auge. A la suite des premiers échanges de l’année dernière, il avait été convenu que Léa serait une synthèse se situant entre cette idée et un SEL (qui n’existe plus depuis la fin des années 1990) avec un mode de fonctionnement le plus souple et le plus léger possible.
La première action concrète du collectif a été de proposer et organiser des gratiférias notamment pour amener tout à chacun à réfléchir sur sa façon de consommer et le gaspillage que peuvent générer les actes de consommation. Naturellement, Léa ne doit pas se limiter à ce seul type de projets. Il doit aussi un catalyseur de liens entre les personnes notamment à travers l’échange de savoirs, de savoir-faire, de services non-marchand, etc.
Actuellement, le collectif se présente ainsi :
Le collectif LÉA – Liens-Échanges-Actions en Pays d’Auge a vu le jour en juillet 2012. A mi-chemin entre un système d’échanges local et une zone de gratuité, il a pour objectifs :
- le recyclage et réemploi gratuit d’objets ;
- l’organisation d’actions temporaires et permanentes autour du thème du non marchand ;
- échanges de savoirs et savoir-faire entre les participants ;
- échanges de services entre personnes ;
- partager entre tous des temps festifs et de convivialité ;
- amener à réfléchir sur la société productiviste, de surconsommation et ses gaspillages à un modèle local alternatif d’organisation des échanges entre les personnes, à construire tous ensemble.
Souhaitons-nous faire évoluer cet objet ? Si oui, organiser une consultation ouverte ?
Faut-il pour organiser des événements payants (foire à tout, etc.) pour financer les frais du collectif peut paraître contradictoire avec l’esprit des gratiferias, et plus globalement dans celui du non-marchand dans lequel Léa est né…. A ce jour pas de position consensuelle sur ce sujet.
3.3) Structuration
Au vu des éléments administratifs contraignants et pour une indépendance d’actions, il apparaît nécessaire d’officialiser l’existence du Collectif Léa par la création d’une association.
Cette « obligation » de passer par le mode association peut se faire en proposant aux participants de contribuer de façon volontaire en tarif libre. En effet la création d’une association coûte environ 40 € pour le journal officiel et l’assurance qu’on peut souscrire ponctuellement pour les événements comme la gratiféria. Il reste qu’il faudra avancer les frais mais ça n’apparait pas insupportable (Sabine).
Dan se propose de rédiger, avec Déborah, un projet de statuts qui vous sera soumis rapidement pour recueillir vos premiers avis avant l’organisation d’une assemblée générale constitutive.
Local ?
Au début de la réunion (avant l’arrivée de Françoise et de Déborah), a été abordé le fait qu’à Lisieux plusieurs locaux étaient vides dont celui situé route d’Orbec laissé à l’abandon et occupé autrefois par les cheminots de Basse-Normandie (là où la CGT organisait la foire à tout en septembre de chaque année). Voir quelles seraient les possibilités pour une mise à disposition de ce local, avec prise en charge par le collectif des frais de fonctionnement.
Avantages : lieu de stockage, lieu de réunion, lieux d’action (temporaires ou pas), etc.
Inconvénients : réhabilitation des lieux, trouver des financements pour la prise en charge des frais de fonctionnement, une mise à disposition peut être synonyme de déménagement rapide.
Christian rajoute qu’on pourrait aussi voir auprès de comité d’entreprise pour creuser cette piste.
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